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Articles sur Montherlant (hors presse)83. Les Camusat de Riancey, ascendants maternels d’Henry de Montherlant, par Henri de MeeûsFamille originaire de Champagne, (Troyes), anoblie par charge en 1709 (Grand Armorial de France, d’Henri Jougla de Morenas et de Raoul de Warren), issue de vieux Troyens qui atteignit son apogée au XIXème siècle et resta très attachée à la Monarchie française (Bourbons). Cette famille des Comtes et Vicomtes de Riancey est éteinte. Blason : D’azur au chevron d’or accompagné de 3 têtes de bélier d’argent.
Note préalable : Ce texte sur l’origine et l’histoire des Camusat de Riancey est extrait du site consacré à l’histoire de la ville de Troyes. 1. Origine et histoire1. Le premier aïeul est Henry Camusat, dit l’aîné, qui, dans un document daté de 1608 est désigné comme le père d’Henry Camusat, dit le jeune, qualifié alors d’honorable homme puis, plus tard, de noble homme. Ce dernier épouse Catherine Pyon, dont, entre autres enfants, vinrent 2 fils qui sont les auteurs des 2 personnages suivants : 2. L’aîné, prénommé Henry, comme son père et son aïeul, est baptisé à Saint-Jean, le 18/04/1615. Il épouse le 22/11/1637, Marie Denise, issue “d’une lignée d’honorable bourgeoisie troyenne”. Ce troisième Henry Camusat, marchand bourgeois de Troyes, conseiller en la Chambre d’échevinage et juge-consul, se qualifie dans les actes, de noble homme. C’est lui qui est l’auteur de la branche de Riancey, qui sera reprise plus loin. 3. Son frère cadet, Louis Camusat, l’aïeul de François-Denis Camusat, est ainsi que lui, marchand bourgeois et échevin de Troyes. Baptisé à Saint-Jean le 22/12/1620, il prend pour femme le 22/11/1650, Marie Marceau. Parmi leur descendance, retenons 2 fils : Pierre Camusat (1655-1740), conseiller au bailliage et siège présidial de Troyes, qui se trouve, lors de sa mort, le doyen de sa Compagnie et son cadet, l’autre Louis Camusat. Ce dernier, baptisé à Saint Jean le 3/04/1669, quitte sa ville natale pour se fixer à Besançon, où il devient avocat au Parlement, et Conseiller au Magistrat, et exerce les fonctions de vicomte-payeur de la Cité. 4. Plusieurs enfants naissent, dont Denis en 1700. Veuf, de sa seconde union naît un dernier fils qui devient chanoine de Saint-Paul de Besançon.
5. François Camusat, baptisé le 16 janvier 1653, est d’abord marchand bourgeois de Troyes. Jusqu’en 1692, il se qualifie d’honorable homme puis de noble homme. Il est major de la ville en 1695, échevin en 1698, et abandonne ensuite le négoce pour vivre noblement.
6. Pierre Camusat, frère cadet de François de Riancey (voir 5) naît en 1657. Il demeure toute sa vie bourgeois de Troyes et marchand. Il a 6 enfants :
7. Henry-Nicolas Camusat, (fils de François, voir 5), est écuyer et seigneur de Riancey. Il naît en 1687 et épouse en 1719, Mathie Gouault, veuve d’un conseiller en l’Election et fille d’un échevin de Troyes. 8. Jacques-Henry Camusat de Rilly, né en 1724, est, avant la Révolution, Procureur du Roi en la maîtrise des Eaux et Forêts, poste qu’il occupe “au nom de la Nation”, jusqu’en 1793. L’émigration de son fils lui vaut, ainsi qu’à son épouse de goûter le confort des prisons de la République. 9. Henry-Nicolas devenu Monsieur de Riancey, né en 1720, se marie en 1748 avec la fille d’un Conseiller au Bailliage dont l’oncle Jean-Baptiste-Claude Gallien est seigneur des Tauxelles, Conseiller du Roi, lieutenant civil, lieutenant particulier, assesseur criminel et premier conseiller en la Prévôté royale de Troyes. 10. Jean-Baptiste-François Camusat de Riancey né en 1750, est le premier de sa famille à prendre le parti des armes. Il est lieutenant en premier au corps royal d’artillerie. Il épouse en 1779, sa cousine Elisabeth Fromageot, fille d’un conseiller du Roi, rapporteur du Point d’honneur et procureur syndic en l’Hôtel Commun de Troyes. Les troubles révolutionnaires tendant à la subversion du régime monarchique, M. de Riancey, alors capitaine au Régiment de Metz, voulant rester fidèle à son serment, rejoint l’armée de Condé. Le Directoire du district, le place sur la liste des personnes soupçonnées d’émigration. Son épouse est écrouée aux Cordeliers en 1794, puis au Grand Séminaire. Elle en sort par l’arrêté de Maures de 1795. Ses 2 fils, nés à Troyes, n’y reviendront jamais :
* * * C'est Jacques Camusat né en 1724 (voir 8) qui fait construire Place Audiffred à Troyes l'Hôtel Camusat, où s'est intallée la Chambre de Commerce et de l'Industrie de Troyes. Camusat est donc un nom que l’on rencontre à Troyes dans les premiers actes de catholicité des paroisses de la ville et dont la diffusion même permet de penser qu’il y était anciennement porté. Il serait vain de vouloir démontrer que tous les Camusat sont issus de la même souche car la signification de leur nom est assez évidente pour que l’on puisse penser qu’un tel sobriquet a convenu à des individus bien divers. Cependant lorsque, au cours des siècles, 3 lignées principales se dégagent, celle des Camusat de Riancey et de Rilly, celle des Camusat de Villiers, de Bellombre et de Vaugourdon et celle des Camusat des Carrets et de Busserolles ; l’on constate que leurs armoiries sont semblables : d’azur au chevron d’or accompagné de 3 têtes de bélier d’argent, d’où la conclusion que leur origine est la même. Les Camusat sont de vieux troyens, issus de la boucherie de la ville et dont certains se sont, dès le XVI° siècle, suffisamment élevés au-dessus de la masse pour pouvoir occuper des fonctions judiciaires ou administratives qui ont naturellement amené leurs descendants, au XVII°, à s’agréger à la noblesse, puis, au XVIII°, à en faire authentiquement partie, grâce à l’exercice d’une fonction donnant la noblesse. D’autres représentants du nom, parents des premiers, s’orientaient vers le grand négoce et classaient leur lignée parmi ces marchands vivant noblement qui florissaient à Troyes sous l’ancien régime. D’autres enfin, demeuraient dans la moyenne bourgeoisie ou le menu peuple.
2. Le Comte Henry-Léon Camusat de Riancey (1816-1870)
Henry-Léon Camusat de Riancey rend son nom célèbre, par la rectitude de toute une existence consacrée à de grandes causes, ainsi que par la multiplicité de ses œuvres littéraires. Né en 1816, il fait de brillantes études au Collège Henry IV, et remporte en 1834 au grand concours le premier prix de discours français. Bachelier ès-lettres, licencié en droit, il s’inscrit au barreau de Paris. Il plaide uniquement dans des causes intéressant la liberté religieuse. Catholique convaincu, il fait partie du groupe de “Vaillante jeunesse” qui s’est formé autour des prêtres Lacordaire, de Ravignan et de l’abbé Dupanloup, et il se trouve parmi les premiers fondateurs de l’Institut catholique et des Conférences de Saint-Vincent-de-Paul. Avec les Melun, Cormenin, Barante, Tocqueville, il prend également une part éminente à la discussion de toutes les questions débattues par la Société d’Economie Charitable. Il collabore avec son frère Charles à la vaste synthèse qu’ils publient sous le nom d’ “Histoire du Monde”, en 4 volumes, de 1831 à 1841. Puis une petite “Histoire résumée du Moyen-âge”, remarquée par l’archevêché et portée sur la liste des livres admis dans les écoles du diocèse. En 1841, Riancey est appelé à la direction du journal l’“Union Catholique”, qui fusionne avec l’ “Univers”. Dans le vaste mouvement d’idées qui marque la fin de la monarchie de Juillet, Riancey prend une place importante comme orateur populaire et ses conférences dans les milieux ouvriers l’amènent à la présidence du Club de la Fraternité. Il rédige 2 journaux, l’“Election populaire” et l’“Ami de la Religion”, il fait paraître son “Histoire critique et législative de l’enseignement en France”, “La loi et les Jésuites”, et “Mgr Affre, archevêque de Paris”. Il accepte la direction politique du journal l’ “Union”, organe de Mgr. Le Comte de Chambord, qu’il conserve pendant 18 ans. Il publie une belle “Histoire du général comte de Coutard”, une traduction des “Méditations de la vie du Christ”, une ”Vie des Saints illustrée”, une “Etude critique sur l’Exposition de 1867”, le ”Journal de Cléry le valet de chambre de Louis XVI”… Dans cette époque aussi agitée par les luttes de la papauté contre les tenants de l’unité italienne et de ceux-ci contre les dynasties autres que la Maison de Savoie, la direction politique d’un journal légitimiste et catholique n’est pas une sinécure. Elle amène le comte de Riancey à se faire devant l’opinion européenne le champion par la plume et la parole, de la duchesse de Parme sœur de Mgr le Comte de Chambord. En récompense, Pie IX l’honore du collier de son Ordre ; à Gaëte, François II le fait commandeur des ordres de François 1er et de l’ordre constantinien de Saint-Georges ; le duc de Modène lui remet la croix de l’aigle d’Este ; le patriarche de Jérusalem le fait chevaliercommandeur du Saint-Sépulcre ; la duchesse Régente de Parme lui confère la croix de Saint-Louis. Riancey brille particulièrement en 1864 au Congrès de Malines qui réunit les catholiques les plus éminents, ainsi que tout ce que l’épiscopat compte d’illustre. Lors du Concile du Vatican, il se range parmi les partisans du dogme de l’Infaillibilité. Il est accueilli affectueusement par Pie IX, qui lui accorde de nombreuses et importantes audiences, il est également l’objet des attentions les plus flatteuses de la part des souverains détrônés de la maison de Bourbon présents à Rome. C’est à ce moment qu’il prend le titre de comte de Riancey. Il décède à Paris le 8 mars 1870 : Pie IX lui accorde une bénédiction spéciale, le comte de Chambord dit qu’il perd le plus fidèle et le plus généreux des royalistes. Dès l’annonce de sa fin, une affluence extraordinaire se fait vers sa maison de Passy où les ouvriers de la Société de Saint-François Xavier veulent eux-mêmes ensevelir leur orateur bien-aimé. Ses funérailles sont grandioses, tout ce que Paris compte d’éminent dans tous les ordres ayant tenu à venir rendre un dernier hommage à ce “grand honnête homme”. De 1843 à 1861, il a eu 10 enfants 6 garçons et 4 filles. 3. Les 10 enfants du Comte Henry-Léon Camusat de Riancey (arrière-grand-père maternel d’Henry de Montherlant)
Henry-Léon Camusat de Riancey, né en 1816, se marie jeune, le 1er septembre 1841, à Mlle Clémentine Le Febvre des Vaux. Son ami Mgr Dupanloup le félicite avec l’Ecriture, d’être digne des bénédictions temporelles qui, dans l’ancienne loi étaient regardées comme la récompense de l’observation des commandements de Dieu. Ton épouse dans l’intérieur de ta maison sera comme une vigne chargée de fruits ; tes enfants autour de la table seront comme de jeunes oliviers. Voilà comme il sera béni l’homme qui craint le Seigneur. De 1843 à 1861, en effet, 10 naissances viennent remplir son foyer, 6 garçons et 4 filles : 1. Adrien Camusat de Riancey, dit le comte de Riancey (sans descendance masculine), écrivain distingué, né en 1843, est le 1er fils de Henry-Léon Camusat de Riancey. Il est le second de son père à L’ Union et son continuateur dans la publication de son Histoire du Monde. Les 2 volumes qu’il publie font l’objet d’un Bref de félicitations de Léon XIII, de même que le premier qu’a donné son père en 1863 a été souligné par un Bref de Pie IX. Il passe dans l’Administration pendant la présidence de Mac-Mahon, et, en 1876, devient secrétaire des Commandements de Mgr le Duc de Nemours. 2. Le second fils est Pierre Camusat de Riancey, né en 1844, décède à 10 ans. 3. Emmanuel Camusat de Riancey, vicomte puis comte de Riancey, grand-père de Montherlant et 3ème fils d’Henry-Léon, né en 1847, fait la campagne de Casteldidardo comme sous-officier dans les zouaves pontificaux. Marié en 1867 à Marguerite (des barons) Potier de Courcy, il a 2 enfants, dont une fille Marguerite (1871-1915) qui épouse Joseph Millon de Montherlant (1865-1914). Henry de Montherlant sera le fils unique de ce couple. 4. Marie Camusat de Riancey, née en 1848, religieuse carmélite. 5. Elisabeth Camusat de Riancey, née en 1850, épouse le colonel d’Estrémont, sans postérité.
6. Madeleine Camusat de Riancey, née en 1852, célibataire, chanoinesse, décédée en 1933. 7. Félix Camusat de Riancey, né en 1854, mort en bas âge. 8. Vicomte Henry-Charles-Ferdinand-Marie-Thérèse Camusat de Riancey, né en 1858. Filleul de Mgr le Comte de Chambord, officier (capitaine) de cavalerie, chevalier de la Légion d’honneur. Il épouse en 1892 Marie Langlois d’Estaintot. Ils ont 3 enfants :
9. Marthe Camusat de Riancey, née en 1859, morte en bas âge. 10. Robert-Charles-Louis-Marguerite Camusat de Riancey, né en 1861, filleul de S.A.R. le duc Robert de Parme et de sa sœur la duchesse de Madrid. Chef d’escadrons de cavalerie, officier de la Légion d’honneur, croix de guerre. Il épouse en 1896 Marie-Thérèse de Villiers. Ils ont 2 enfants :
4. Quelques documents inédits1er document : Annonce du mariage de Joseph de Montherlant avec Marguerite de Riancey, père et mère d’Henry de Montherlant, leur fils unique : Dans l’Argus, Journal international des Assurances-Finance, n°739, 18ème année, du 22 avril 1894, un articulet sous la rubrique “Mariage” : “Nous apprenons le mariage de Mlle Marguerite de Riancey, fille du sympathique sous-directeur de la Générale-Incendie et de Madame la vicomtesse de Riancey née de Courcy, avec le vicomte Joseph de Montherlant.” (NDLR : Il est comique de constater que le fiancé reçoit un titre de vicomte auquel il n’a pas droit car si les Millon de Montherlant sont nobles, cette famille ne reçut jamais de titres. 2ème document : La Rue de Lauriston à Paris. Le domicile du couple Riancey-Potier de Courcy et du couple Montherlant-Riancey (qui y habite depuis 1896) est le n°106 : Un relevé a été effectué dans le Paris-Mondain des habitants “chics” de la rue de Lauriston en 1908. En voici quelques noms :
(NDLR : On remarque qu’au n°106 cohabitent la grand-mère Riancey née Potier de Courcy, (devenue veuve d’Emmanuel de Riancey en 1905), avec son frère le baron Pietro de Courcy, vieux célibataire déclassé, et son fils Henry de Riancey, tout aussi déclassé, qu’elle soutient. Montherlant s’inspirera de son grand-oncle et son oncle, pour écrire Les Célibataires (1934).) Le gendre Joseph de Montherlant et Marguerite de Riancey son épouse et leur fils unique le futur écrivain Henry de Montherlant né en 1895 vivent aussi dans cet hôtel particulier qu’ils occupent depuis 1896. Ici Joseph pour le bottin Paris-Mondain est fait comte et il s’ajoute le nom d’Aumont ! (NDLR : Pourquoi d’Aumont ? Il y a eu plusieurs branches dans la famille des Millon. Les Millon de La Morlière, Les Millon d’Aumont, les Millon de Montherlant et de La Verteville, les Millon de Margimont, les Millon de Mericourt, tous cousins les uns des autres. Ils descendent du même ancêtre Robert Millon d’Abbemont (1567-1644) marié à Françoise Lefebvre du Sart. La postérité des Millon d’Aumont s’éteint en 1847. L’adjonction de ce nom d’Aumont que prend Joseph est donc incorrecte. En effet, Joseph Millon de Montherlant, père d’Henry, descend de la branche d’Antoine Millon de Montherlant et de La Verteville (1693-1777), Coureur de vin à l’Echansonnerie-Bouche du roi Louis XIV, Capitaine-Exempt des Gardes de la Porte du Roi, qui acquit en 1755 les seigneuries de Montherlant et de La Verteville. Il épouse en 1715 Marie-Jeanne Budin de Wavignies. C’est à cette branche des Millon de Montherlant et de La Verteville, devenue branche aînée, qu’appartiennent Joseph et son fils Henry.)
3ème document : Les obsèques du comte Adrien de Riancey, grand-oncle d’Henry de Montherlant, rapportées dans Le Gaulois du 21 juillet 1898 par Raoul Cheron. (NDLR : Tout le “gratin légitimiste” des fidèles du comte de Chambord assiste à ces obsèques. La haute aristocratie française dévouée aux Bourbons est présente ! Henry de Montherlant qui est âgé de 3 ans assiste à la cérémonie. Son père Joseph est désigné correctement et sans titre de noblesse. On voit ici que la famille des Riancey est au sommet de sa splendeur mondaine). 4ème document : Les obsèques du Comte Adrien de Riancey, grand-oncle d’Henry de Montherlant, rapportées par La France illustrée du 30 juillet 1898. 5ème document : Le faire-part de la mort le 30 juillet 1905 d’Emmanuel de Riancey, à l’âge de 58 ans, grand-père d’Henry de Montherlant, dans la Chronique des Compagnies d’Assurances. 6ème document : Les obsèques à Saint-Honoré d’Eylau d’Emmanuel de Riancey (1846-1905), grand-père d’Henry de Montherlant décrites dans le Figaro du 3 août 1905. (NDLR : On voit ici que le fils unique du défunt qui mène le deuil d’Emmanuel est le comte Henry de Riancey, dit l’oncle Noute d’Henry de Montherlant qui s’en inspirera pour créer son inoubliable personnage de Léon de Coantré des Célibataires. L’unique petit-fils, Henry de Montherlant, âgé de dix ans, est présent, ainsi que l’unique gendre du défunt soit Joseph qui est devenu le Comte de Montherlant ! Il y a à cette époque une valse de titres portés dans ce milieu aristocratique, tous plus flatteurs les uns que les autres, qui ne reposent sur aucune faveur nobiliaire royale ou impériale. Vanité mondaine à laquelle Henry de Montherlant goûtera jusqu’en 1940 environ, ne dédaignant pas, lui aussi, de porter un titre de comte !)
7ème document : Annonce des fiançailles des parents d'Henry, Le Figaro, 19-4-1894 8ème document : Annonce du mariage civil des parents d'Henry, Le Matin, 28-5-1894 9ème document : Annonces du mariage religieux des parents d'Henry, Le Matin, 30-5-1894 10ème document : Annonce du décès du père d'Henry, Le Gaulois, 19-3-1914 11ème document : Annonce du décès de la mère d'Henry, Le Gaulois, 19-8-1915 12ème document : Annonce du décès de Magdeleine de Riancey, Le Figaro, 1-2-1933
Sources
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